Et voilà. Les jeunes et les professeurs venaient d’arriver ce matin, et tout allait commencer dès demain. Nyx devrait prendre le rythme, et surtout supporter ces jeunes adolescents en crise, sans avoir envie de leur coller des baffes… Enfin, encore que l’envie ne se contrôle pas spécialement, mais elle devrait se contrôler. Encore qu’en tant que professeur, c’était différent. Les éducateurs, eux, allaient avoir plus de travail, pour réussir à faire changer ces jeunes. Plus dur encore pour elle, elle allait devoir essayer de capter leur attention en cours, et essayer de les faire aimer la littérature, une matière qui n’est en général, pas leur préféré. La jeune femme secoua la tête de gauche à droite pour chasser cette pensée. Pour l’instant, elle allait profiter de la soirée organisée, et de ce pot, pour rencontrer ses collègues, et surtout les adolescents avec qui elle allait devoir vivre un certain temps. La jeune femme avait loué un appartement à peine arrivé en ville, histoire d’avoir un lieu ou loger, encore que le camp n’était pas une si mauvaise idée, quoi qu’un peu de recul lui faisait du bien. Malheureusement, elle serait également éloignée de sa fille adoptive, Billie. Après avoir trouvé l’appartement en question, la jeune femme s’y était installée, et préparé pour le pot en question, qui avait lieu sur la place du village. Elle ne devait pas arriver en retard, bien au contraire même, elle devait être là un peu à l’avance, car elle allait était la première à s’occuper du petit coin boisson. Elle s’était elle-même portée volontaire pour cela. Au moins, ils étaient tous sûrs qu’aucun adolescent ne boirait d’alcool, même pas Billie. Elle était à présent là, derrière ce qui leur servait de bar, son verre de champagne non loin d’elle, et regardait les autres professeurs arriver, se demandant qui était prof’ et qui était éducateurs. Puis, les adolescents arrivèrent. Elle n’eut même pas le temps de se demander pourquoi chacun d’entre eux était là, car elle devait accomplir son devoir, à savoir servir les personnes en face d’elle. Un prof, donc un verre de champagne. Un ado, un cockail sans alcool. Un verre, deux verres, trois verres, et ainsi de suite.

J'étais arrivé une semaine avant le début du camp en Afrique. J'avais donc pu découvrir la ville, j'avais d'ailleurs profité du cinéma, des magasins et de la bibliothèque. J'étais un peu inquiet : c'était ma première année en tant que professeur et les élèves que je vais avoir ne sont pas forcément des anges. Mais je chassais cette idée en me disant que justement, cette année au camp ne pouvait que me rendre compétent professionnellement. De toute façon je ne pouvais plus faire marche arrière, et je ne supportais plus Norwish, j'avais beaucoup trop de mauvais souvenirs en Angleterre, il ne peut donc m'arriver que des bonnes choses. J'étais arrivé un peu en retard au camp, je m'étais endormis dans le studio que je louais derrière la camp, et je n'avais donc pas vu l'heure passait. Ce qui n'est pas très grave car je crois que personne n'avait remarqué mon absence: en même temps personne ne me connaissait. Je regardais les alentours, j'ai remarqué que les adolescents ne se mélangeaient pas aux éducateurs ou aux professeurs. Une femme blonde servait les adolescents. Elle semblait un peu nerveuse mais sa beauté le cacher. Je crois que beaucoup d'homme présent dans ce pot l'avait remarqué. Au moment ou elle essayait de prendre un nouveau pichet de cocktail sans alcool, elle le renversa par terre. Le silence a immédiatement régné. Personne ne bougeait (ce que je ne compris pas) et tout le monde la regardait. Elle était très mal à l'aise étant donné que le pichet en verre avait éclaté en mille morceaux. Je me précipita le plus vite possible pour l'aider à nettoyer et à ramasser. Quelques secondes après, les gens recommençaient à parler dans tous les sens.

Dès que tout fut nettoyé je me décida de lui adresser la parole :
« Shane Adams, professeur de littérature spécialité Français. Bonjour . » J'ai grimaçait en disant bonjour, je ne voulais pas la mettre encore plus mal à l'aise, et je ne voulais pas lui faire croire que je suis le professeur sérieux qui a toujours été traumatisé par les bad boys au collège.

Durant un instant, la jeune femme avait crut voir une silhouette blonde, qui lui ressemblait trait pour trait. Durant un instant, Nyx avait crut voir un fantôme, enfin ce qu’elle croyait en être un. Durant un instant, oui, la jeune femme avait crut apercevoir sa sœur jumelle, décédée, ou en tout cas, c’était ce qu’elle croyait, puisque personne n’avait retrouvé son corps, ceci dit, personne n’avait eut de nouvelles non plus. Alors oui, forcément, voir quelque chose du genre, ça troublait. La silhouette avait disparue, et la jeune femme n’avait pas eut le temps de la suivre du regard, mais… C’était bizarre. Elle aurait mis sa main à couper que c’était elle. Non, n’importe quoi !

NYX ▬ Nyx, tu rêves. Athéna est morte… se murmura-t-elle à elle-même.

Mais cette vision, ou ce qu’elle croyait avoir vu plutôt, l’avait profondément troublé. Au point qu’en servant un verre à un adolescent, la jeune femme fit tout tomber par terre. Bah bravo ! C’était bien sa veine ! Déjà qu’elle avait tendance à être tête en l’air, à se perdre dans ses pensées… Bah tiens, ça ne la changeait pas tant que ça au final. Seulement, comme première impression, elle aurait pu faire mieux que ça. Le pire, c’était ce silence tout autour d’elle et ses regards. Quoi ? Elle avait un truc entre les dents ? Ca arrivait… Ce n’était pas la mer à boire non plus, si ? A croire que si, vu leurs têtes déconfites. Arf ! Nyx se baissa et commença à ramasser son bazar. Elle fut surprise de voir que quelqu’un vint l’aider, puisque tout le monde, ou presque la défigurait comme une pestiférée.

NYX ▬ Professeur de littérature ? Premier point commun, dit-elle en souriant. Bonjour, moi c’est Nephtys-Oxanna Kostas, mais appelez moi Nyx, c’est plus court et plus simple. Et, merci beaucoup de m’avoir aidé. J’étais plongé dans mes pensées quand j’ai tout laissé tomber… Tête en l’air quoi… Et en plus je parle trop ! Pardon !

Deux adolescents se trouvaient en face de ce qui servait de buffet, et se mirent à toussoter pour faire remarquer leur présence. Inutile de le faire à vrai dire, ils ne passaient pas franchement inaperçus…

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Voilà. Je m'y trouvais, enfermé au fond de l'Afrique juste parce que je ressemblais à mon père, cette phrase restera gravé à jamais dans ma mémoire ainsi j'ai une image de lui, je ne l'es jamais connus mais je sais comment était son caractère et donc j'ai tout de même une petite image de lui. Mais là, je me trouvais sur une place d'une ville en Afrique je n'ai même pas fait attention au nom tellement cela m'énervais d'être ici, heureusement je n'étais pas seul, il y avait mon frère et ma meilleure amie aussi et je ferais certainement de bonne connaissance ici mais il y aura aussi surement de bonne prise de tête, je me demandais bien à quoi cela servait de venir jusqu'en Afrique juste pour me remettre dans le droit chemin comme ma mère avait dit, on est comme on est ça ne sert à rien de vouloir nous changer après tout, quoi ? C'est vrai, non ?! Comme tout le sait ça me soulais de me retrouver ici. De plus, en ce moment même un pot était organisé pour notre accueille avec tout les jeunes, les professeurs mais aussi les éducateurs, tout en gros, bien sûre boisson sans alcool pour nous mais les profs et les éducateurs eux avaient le droit au champagne, super ! Histoire de faire le mec sage j'allais demander un verre bien automatiquement la prof ou l'éducatrice me servit un verre de boisson sans alcool, et je dois avouer qu'elle était était plutôt belle, à quoi ça leur servait de prendre des profs beau ?! Franchement ce camps était vraiment bizarre.

- SAMAËL : « PUT*IN ! TU PEUX PAS FAIRE ATTENTION !! »

Criais-je presque parce que la prof qui me servait avait renversé de la boisson à côté dont sur ma main, ça commençait bien puis je soupirais et rajoutais une petite phrase pour énerver un peu avec un sourire provocateur avent de partir.

- SAMAËL : « En plus des prof de littérature dont un de français, pfff je sens que je vais m'éclater ici ! »

Bah quoi ?! D'accord je changerais peut-être d'attitude mais pas maintenant, je préférais d'abord me faire entendre et faire comprendre que je ne me laissais pas faire !

Un pot ! Un pot pour souhaiter la bienvenue aux nouvelles venues comme Spencer. Nan mais ils pensaient pouvoir dire « non vous n’êtes pas enfermer regarder vous pouvez manger ». De plus spencer ne pouvait même pas mettre se qu’elle avait l’habitude de mettre. Soit des mini-jupes et des décolletés plongeant. Elle soupira. Elle avait déjà installé ses affaires dans sa chambre, qu’elle devait partager. Elle ouvrit sa valise. Elle vit qu’on lui avait enlevé ce qui n’était pas « convenable » ici. Elle chercha sa robe bustier verte a motif noirs et l’enfila. Elle mit ensuite des chaussures a talons. Mais attention ses talons étaient en pailles et donc ne gênait pas trop pour le règlement. On lui avait confisqué ses magnifique chaussures a talons aiguilles. Foutu endroit !! Elle soupira une nouvelle fois et entrepris de se maquiller légèrement. Elle s’en alla après vers le lieu où avait lieu le pot. Spencer entra tranquillement et remarqua d’autre adolescent qui était vêtu de short et de t-shirt ou des chemises, des pantalons courts. Elle constata qu’il y avait un ‘‘bar’’ et alla vers lui. L’un des professeurs a côté d’elle avait une coupe de champagne mais spencer constata que c’était réservé aux adultes. Et m**** !! Elle se servit un verre de jus d’orange mais le posa après une gorgé. Non mais si elle devait boire ça jusqu’a se qu’elle rentre chez elle, Spencer allait mourir. Peut-être que si elle se comportait bien, elle pourrait avoir une permission. Plus elle y pensait et plus Spencer se disait que le camp ressemblait a une prison. Une prison située en Afrique, avec des girafes, des éléphants et des Lions. Mais il y aurait aussi des serpents et Spencer aimait bien cet animal. Ne lui demandait pas pourquoi mais elle trouve ça mignon. Spencer prit son verre - autant s’y mettre tout de suite- et alla s’asseoir sur le sofa. Peut-être que quelqu’un viendrait lui parler.

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Une fois après avoir essuyé ma main, je regardais autours de moi et découvrais plusieurs jeunes, tous comme moi, si je peux dire ça, certains étaient déjà en train de parler avec d'autre de faire connaissance, d'autre était seuls dont une fille, une jolie blonde, elle était assise sur un sofa. Toute seule, elle avait l'aire de s'ennuyer et moi aussi j'étais seule et m'ennuyais donc je pris la décision de d'aller la voir. Je fini mon verre d'un coup sec et le posais sur le buffet. Je traversais les différents petits groupes pour arriver jusqu'à ses côtés, je m'assis à côté d'elle.

- SAMAËL : « Salut ! Moi, c'est Samaël et toi ? »

Je lui fis un petit sourire, elle avait l'aire toute gentille avec sa robe verte et ses cheveux blond, personnellement je n'aurais pas penser qu'elle puisse être un démon mais plutôt un ange mais bon comme on dit "Ne vous fiez pas aux apparences !" Là, c'était bien la cas.

- SAMAËL : « Ça va ? Tu t’ennuie pas trop ? »

AVais-je donc repris histoire de faire la conversation et aussi pour faire connaissance. Après tout il fallait bien plus que nous allions s’ennuyer à mort dans ce foutu camps ! Fin je le pensais après je sais pas du tout à quoi nous pouvions nous attendre et leurs interdictions me faisais vraiment chi** !

Pourquoi, lorsqu’on faisait tomber et qu’on cassait quelque chose, régnait soudain un silence pesant, un silence de mort ? Le bruit aurait pu être étouffé par toutes les discussions entamées autour d’elle, mais non. Comme par hasard, pile à l’instant où elle fit tomber ce truc et qu’il se brisa au sol, le silence était roi. Et bien sûr, l’adolescent en face d’elle choisit pile ce moment pour lui faire une scène et lui hurler dans les oreilles. Oh ça va, ça arrive à tout le monde de casser un objet. Il avait suffit d’un seul petit moment d’inattention, et maintenant, elle passait déjà pour la cruche de service. Tant pis. Elle prouverait à tout le monde ce qu’elle valait, avec le temps. Ils verraient tous, qu’elle n’était pas une incompétente comme ils étaient surement en train de se l’imaginer dors et déjà. Ils verraient… En attendant, elle était gênée. Entre le silence pesant et tous ces yeux braqués sur elle, elle aurait voulu être une souris pour partir en courant se cacher, sans que personne ne puisse la suivre.

NYX ▬ Désolée, se contenta-t-elle de dire.

Le jeune homme, donc elle ne savait pas encore le prénom, fit une remarque sur les professeurs de littérature, ce qui, d’un seul coup, lui donna une idée. Elle se lançait le défi de lui faire « aimer » la littérature. En cours, elle trouverait bien un livre au moins qui lui plaise. Elle le regarda s’éloigner et rejoindre une jeune adolescente, blonde, divinement belle. Après quoi, elle se remit à son poste, tandis que les discussions commençaient à revenir, et attendit patiemment que quelqu’un d’autre arriva au buffet, ne pensant dors et déjà plus qu’à passer son tour, et à se fondre dans le décor, cherchant la silhouette qu’elle avait crut voir.

Spencer n’avait qu’une envie c’était de partir de là et au plus vite. Elle s’ennuyait ferme toute seule dans son sofa. Peut-être que si elle partait elle pourrait faire une excursion pour voir comment était le camp. Elle avait besoin de changer les idées. De tuer le temps (HS je vais tuer mon ordi si ça continue). Soudain un charmant jeune homme s’assit a coter d’elle et se présenta sous le nom de Samaël. Spencer se dit qu’il portait un nom bizarre mais ne fit aucun reproche parce que le prénom qu’on lui avait donné à elle était pour un garçon plutôt qu’une fille. Spencer se dit que le seul bon côté de sa « détention » c’était qu’il y avait des garçons tout frais tout beau. Il avait les cheveux châtains celui là et était vraiment mignon. Humm mais il ressemblait a un vilain garçon et cela pouvait toujours être amusant. Mais avant que Spencer ait eu le temps de dire comme elle s’appelait il lui demanda si elle s’ennuyait. Evidement qu’elle s’ennuyer c’était vraiment ch**** ce pot. Elle répondit tranquillement au garçon :

Spencer – Evidement que je m’ennuie. Qui voudrait être ici ? Honnêtement je veux partir.

Il y eu un moment de silence pendant lequel Spencer observa les autres, en groupe, qui riaient au blagues (sans doute nuls) de l’un et de l’autre. Puis Spencer reporta son attention sur Samaël et dit :

Spencer – Au fait je m’appelle Spencer.

Elle ne savait pas quoi dire de plus. Peut-être son nom ou bien comment elle était arrivée là. Mais si Samaël voulait savoir ça il pouvait le lui demander. Elle se tourna sur le canapé pour être bien en face de lui. Vraiment il était … à croquer

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La belle prof blonde qui m'avait renversé de la boisson sur la main m'avais lancé un petit désolé, cela me fis sourire car elle aurait très bien put ne rien et ainsi montrer qu'elle n'était pas du genre à se soumettre mais en faisant cela ça prouve une marque de respect et cela fait tout de même plaisir, de savoir que nous sommes respecté. Mais passons, en ce moment je me trouvais assit sur le sofa au côté d'une belle blonde que je ne connaissais pas le nom mais je le saurais très prochainement.

- SPENCER : « Evidement que je m’ennuie. Qui voudrait être ici ? Honnêtement je veux partir. »

Voilà ce que m'avait répondu la belle fille à ma question et je m'attendais tout à fait à ce genre de réponse ma question avait même était bête, très bête même car c'était totalement logique.

- SAMAËL : « Ouais, c'est sure. »

Avais-je répondus en soupirant et l'air fatigué de cela puis le silence pris sa place et j'observais les autres qui se trouvaient autours de nous, il y avait de très belle fille, je sentais que j'allais, m'amuser bon OK il y avait le règlement mais depuis quand je le suis ? Même le lois française je la suivais pas toujours, j'essayerais, je ferais des efforts à suivre leur règles mais seulement quand j'en aurais envie, même si je reçoit des correction en échange aux quelles je suis sûr d'en recevoir.

- SPENCER : « Au fait je m’appelle Spencer. »

Fit donc Spencer pour briser le silence et à ce moment là j'allais lui demander comment elle s'appelait mais elle fut plus vite et je lui souris.

- SAMAËL : « Enchanté Spencer. Et pourquoi tu es là ? T'as pas l'aire de désobéir toi. »

La première partie accompagné d'un puis la fin accompagné d'un petit rire, car je dois avouer qui dire qu'elle n'avait pas l'aire de désobéir était bête comme réplique mais bon, c'est tout moi.

Spencer croisa les jambes. Samaël semblait d’accord sur le fait que cet endroit était nul. Et il s’ennuyait lui aussi apparemment. Spencer remarqua quelques professeurs qui discutaient entre eux. Dire qu’ils allaient les avoir en cours. Mais qu’allaient-ils leur apprendre ? Ha être de mignon petit adolescent ? Spencer se rappela des films de science fiction où on faisait un lavage de cerveaux a des adolescents et après ils devenaient des mignon petits robots qui voulaient envahir le monde. Le gars qu’avait fait le lavage voulait élever une armée, d’après se que Spen’ avait compris. (HS : se film n’existe pas je crois que c’est un livre). Spencer commença un peu à avoir peur mais se dit que ses parents n’auraient jamais laissé faire ça … quoiqu’ils s’en fichaient un peu de leur fille. Alors qu’elle pensait à Monsieur et madame Hopskin, Samaël lui demanda comment elle était arrivée ici. Elle sourit en regardant le jeune homme. Voulait-il vraiment savoir qu’elle était devenue une pute sans le vouloir ? Que penserait-il d’elle après ? Peut-être accepterait-il qu’elle le « teste » ? Elle allait lui répondre lorsqu’une fille qu’elle connaissait mais dont elle ignorait le nom arriva et leur dit :

▬ Hey' les looser, je vous dérange pas j'espère !

Spencer regarda la fille boire un peu de champagne. Nom de dieu ! Où elle en avait eu ? Spen’ essaya de se souvenir où elle avait vu la jeune inconnue et se rappela alors - après avoir fait défiler les derniers jours dans sa tête (défilé les images) – que c’était l’un de ses colocataires pour la colonie : Hazel Mauricette de Sèze. Ça lui faisait un nom de riche. Elle ne devait pas avoir vécu a Denver elle au moins. En tout cas elle semblait connaître Samaël et semblait se foutre de déranger ou pas les deux jeunes gens. Spencer se demanda se qu’elle pouvait bien répondre. Elle observa Hazel qui avait des cheveux blonds également – il y a beaucoup de blonde ici – et les yeux marron. Spencer se demanda tout à coup si Haz était vraiment blonde où si elle s’était fait une coloration – c’est toujours important ça. Cette question lui rappela le coup où Kayden, l’un des ses ex petites amies avaient voulut se teindre en rousse. Spencer l’avait empêché en lui disant qu’elle romprait avec elle si elle le faisait. Mais les deux jeunes filles avaient regardé sur un site ce que ça aurait donné et elle avait bien rit. Spen’ prit un air totalement détaché et répliqua a Hazel :

Spencer – Salut Haz comment vas-tu aujourd’hui ?

Spencer mourait d’envie de savoir qu’elle était le lien qui unissait Samaël à Hazel et si Sam était libre pour quelque chose … d’interdit.

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Spencer et moi même étions tout les deux assis sur le sofa nous commencions à parler, il est vrai que la discutions n'était pas passionnant non plus active mais bon commençait tout juste à faire connaissance, avec le temps la conversation viendra beaucoup plus facilement et puis aura moins peur de peut-être sortir des conneries ou autres idée toutes aussi farfelues les unes que les autres. Quand je demandais à la jolie blonde qui se trouvait à mes côté une autre blonde vint s'incruster dans notre conversation pas même la penne de relever la tête pour savoir de qui il s'agissait mais je la relevait tout de même pour mon plaisir, pour l'envie de redécouvrir une autre fois ma meilleure amie, enfin meilleure amie c'est vite dit car en réalité c'est bien plus mais bon on ne va tarder sur des choses pas très importante pour le moment. A la vue de Hazel, je souriais.

- HAZEL : « Hey' les looser, je vous dérange pas j'espère ! »

Dit-elle en arrivant vers nous. Sacré Mauricette ! Oui, Mauricette était son deuxième prénom, il m'a toujours fait rire, à chaque fois qu'elle allait voir quelqu'un elle disait ce genre de chose, pour elle c'était comme une marque d'affection. Je lui souriais encore et me levais pour lui déposer un baiser sur la joue et la prendre dans mes bras. Quand Spencer repris la parole.

- SPENCER : « Salut Haz comment vas-tu aujourd’hui ? »

Elle se connaissait donc, je pense qu'elle s'étaient vu sur le camps. Et puis après tout ce ne sont pas mes affaires quoi que je surveille tout de même ses relations de près je ne souhaite pas vraiment qu'elle est de mauvaise fréquentation, quoi que la mienne n'est pas forcément bonne non plus car si c'était le contraire je ne serais surement pas là, enfermé dans le trou du cul du monde. Bref. Une fois avoir pris Haz' dans mes bras je m'écartais un peu.

- SAMAËL : « Tu m'as manquée, ma puce » Fis-je à l'intension de Hazel en lui prenant son verre de champagne en pris une gorgée et lui rendis son verre. « C'est un peu mieux comme ça. » Puis regardais tour à tour Hazel et Spencer et rajouta : « Vous vous connaissez ? » Rajoutais-je pris de curiosité.

Ca, ou la prison…. Ca, ou la prison… Ca, ou la prison… Mais pourquoi avait-il choisit ce camp ? Finalement, la prison aurait peut-être été une meilleure option, à tout bien y réfléchir. Et bien oui ! Parce que là, il se sentait tâche. Vingt-et-un ans. Mais qu’est-ce qu’il foutait ici, en compagnie de « petits jeunes », sans déconner ? Il avait frappé un homme, oui, mais il n’y avait pas mort d’homme non plus. Ce type n’avait eut que ce qu’il méritait. Bon… D’accord, il l’avait bien amoché, défiguré même, mais quand même ! Ce type était toujours en vie, même si ce n’était pas l’envie de continuer qui lui avait manqué. De toute façon, ce type finirait sa vie en prison, tout du moins, Flynn l’espérait de toutes ses trippes, pour qu’il puisse enfin payer le crime qu’il avait commis. Et puis, tout compte fait, le camp, ce n’était pas plus mal. Au moins, il ne risquait pas de revoir ce sale type. Et puis, s’il était allé en prison, il n’aurait pas pu revoir sa belle Jasper non plus. Alors que là, dieu merci, son père, la mère de Jasp, et elle, l’avaient suivi jusqu’ici. S’il pouvait, nul doute qu’il s’échapperait de ce foutu camp chaque jour pour aller la rejoindre. Le jeune homme garda l’idée dans un coin de son cerveau. En attendant, il se retrouvait là, à cette espèce de fête, encore que c’était un bien grand mot, organisé en l’honneur du camp et de l’arrivée de chacun. En voyant certains jeunes, il se demandait ce qu’ils pouvaient avoir fait de « mal » pour se retrouver ici… Non, sans rire ! Il y avait un type là-bas, qui faisait quoi… 14 ans, peut-être, et qui avait l’air de draguer une nana, du même âge. Huhu. Il faisait tâche. Totalement… Le pire, c’est qu’il ne trouvait pas Jasper des yeux. Elle devait être là, puisque le pot était ouvert aux habitants du village. Elle était forcément là. Mais pas moyen de la trouver.

Son regard fut attiré par un type, à la crinière parfois spéciale, selon lui, qu’il avait déjà vu. Oui, oui ! Dès qu’ils étaient arrivés, ils avaient été conduits dans leurs chambres, et chacun avait été présenté à ses colocataires. Oui, lui c’était un de ses colocs… Raphaël. Ou un truc dans le genre. Et l’autre, il ne s’en souvenait carrément plus. Ni de son nom, ni de sa tête, mais ça lui reviendrait forcément le soir venu. Il s’approcha de son futur colocataire, qui était d’ailleurs bien entouré. Deux jolies blondes. Dis-donc, ils allaient bien s’entendre tous les deux ! Bien qu’il aurait préféré la compagnie de sa blonde à lui… Mais ça, c’était une autre histoire.

FLYNN ▬ Salut Raphaël, lança-t-il sans se rendre compte qu’il se trompait de prénom. T’es bien entouré à ce que je vois ! Bien le bonsoir mesdemoiselles.

Oui bon, retenir les prénoms en un rien de temps, ça n’avait jamais été son truc. Et puis, il y avait tellement de gens ici – qui l’eut crut d’ailleurs – que retenir le prénom de chacun était totalement impossible. Il y avait une blonde aux longs cheveux et au regard pénétrant, et l’autre avec un sourire qui devait être à croquer, et un verre de champagne à la main. Un verre de champagne ? Avait-il manqué un épisode ? Ni d’une, ni de deux, il ne se gêna pas.

FLYNN ▬ Toi, je crois que t’as pas l’âge de boire, dit-il en prenant le verre d’Hazel des mains, et en en buvant une gorgée, tout en souriant.

Et voilà premier rassemblement du camp. Mais qu'est-ce que ça pouvait lui foutre. Pourquoi avait-il fallut que Nyx accepte ce poste et inscrive sa fille adoptive. Putain mais Billie avait bien mieux a faire que de rester coincé dans ce trou a rat sans accès vers l'extérieur. En fait, ce n'était pas tant le fait qu'elle soit coupée du monde sans portable ni internet - elle n'avait pas d'amis - c'était juste parce qu'elle détestait la nature. Les insectes et tout se qui se rapprochait de près ou de loin des animaux l'effrayait. Ce n'était pas a proprement parlé une phobie mais ce genre de petits animaux horripilaient Billie. Depuis qu'elle était arrivée au camp, la jeune femme n'avait pas arrêté de hurler parce qu'elle avait vu des araignées. Nyx allait le payer et ça Billie lui mènerait la vie dure. Elle l'avait déjà obligé de venir avec elle parce qu'elle avait encore de l'autorité sur Billie. La rousse l'avait suivi parce que même si elle ne l'avouerait jamais, elle avait elle aussi besoin de changer d'air. Ça faisait quand même deux ans que Porter était mort et les deux filles s'étaient laissées abattre. Et donc le camp était une bonne solution. Mais Billie ne le voulait pas. Elle avait donc suivit sans presque rien dire mais elle allait se venger pour le principe. Et la, elle se trouvait devant ce qui lui servait d'armoire. Billie prit ce qui lui passait sous la main : une petite robe très décolletée qui arrivait assez haut au dessus des cuisses. Elle mit ensuite des petits ballerines et alla se maquiller et se coiffer. Quand ce fut fait, elle prit la direction de la plage pour le rassemblement. 

Sur le chemin, plusieurs personnes la sifflèrent. Même si elle se donnait un genre, jusqu'à ses 16 ans, Billie n'avait jamais été une fille comme ça. Ce n'était qu'après la mort de son père adoptif, qu'elle avait changé du tout au tout. La jeune fille cacha sa gêne sous un sourire éclatant et un regard aguicheur. Billie continua sa route et se retrouva a la plage en moins de temps qu'elle avait cru. Prenant son courage a deux mains. Dans la foule, elle repéra la tête blonde de sa mère. Elle parlait a un prof plutôt mignon et près d'eux se trouvait un groupe d'ados et plus. Billie se dirigea alors vers le groupe. Il y avait deux blondes plutôt mignonne, deux bruns dont elle ferait son quatre heures très bientôt, surtout le plus âgé. Le plus vieux avait un verre de champagne dans la même, il devint alors la cible de Billie. Il était beau et en plus il tenait de l'alcool. Quand elle arriva a sa hauteur, elle lui piqua le verre et le finit avant de lui rendre. 

BILLIE ▬ Salut, moi c'est Billie et vous ?

Elle sourit a tout le monde. C'était de la provocation pure et dure. 

Ca y est je me retrouve en Afrique. Cela me dépayse totalement et me permet de partir sur de nouvelles bases. Du moins je sais que l'on ne peut pas effacer certaines choses et qu'à jamais ça me restera mais toutefois je souhaite avancer avec mon passer et en faire ma force. J'ai appris également qu'il y avait un camp pour adolescents en difficultés en quelques sortes. J'espérais que mon vécu et ma profession pouvait leur venir en aide. J'ai appris qu'il y avait également un pot de l'amitié qui était organisé par les villageois. Maintenant il fallait à tout prix que je me prépare pour ensuite voir un peu à quoi ressemblait ce camp et qu'elles étaient surtout leurs méthodes. Je voulais également analyser certains jeunes et voir un peu ce que je pouvais leur apporter dans un avenir proche. Je me préparais donc en prenant une douche rapide et en m'habillant d'une chemise en lin de couleur écrue et d'un jean. Je ne savais pas trop s'il fallait se mettre sur son 31 ou autre alors je pris l'option d'assembler les deux. Mais rien n'était indiqué sur les affiches que l'on trouvait partout dans le village. Je pris mes papiers que je mis immédiatement dans ma poche et me dirigeas vers la porte de sortie de mon loft. Ca faisait vraiment du bien d'avoir un chez soi sans avoir son père derrière soi et de vivre sa vie. J'en avais vraiment besoin. Même ma sœur ne sait pas où je me trouve exactement. Bref je me retrouvais maintenant dehors et pris la direction de la place du village.

Je me mis à suivre le mouvement pour me retrouver face à une légère foule humaine. Je m'approchais doucement pour regarder un peu à qui j'avais affaire mais ça n'était pas évident pour le moment. Je ne connaissais personne et je comptais bien découvrir quelques individus. Je m'approchais du buffet pour voir qu'un serveur était là et me proposait un verre de champagne. Je pris celui-ci et me retournai pour voir un peu tous ces gens. Je sais que quand on arrive ça n'est pas évident de ce faire une place mais j'espérais être reconnu un peu. Maintenant à voir le déroulement de cette soirée....

L’Afrique. C’était vraiment une drôle d’idée quand on y pensait. Rééduquer des jeunes en pleine crise d’adolescence, n’en ayant strictement rien à fiche des règles, des lois, de l’autorité. Ils étaient fous de se lancer là dedans, vraiment. Mais il ne comprenait toujours pas pourquoi il était là, alors qu’il avait vraiment déraillé une seule fois. Ce n’était pas non plus comme s’il allait se mettre à frappé tout le monde à mort à n’importe quel moment. Il savait, en général, se contenir… Enfin bref. Flynn était là, en train de chercher Jasper des yeux, sans pour autant la trouver, avant d’apercevoir ce type qui était son colocataire, mais dont le prénom lui échappait. Pour le moment, c’était pardonnable. Il n’avait dut l’entendre qu’une seule et unique fois, et vu la foule qu’il y avait ici, retenir autant de noms et prénoms n’était vraiment pas chose facile. Il s’incrusta, ne se souciant pas de savoir s’ils étaient d’accord ou non. C’est vrai qu’elles étaient jolies ces deux blondes qui entouraient son coloc’. Lorsqu’il vit que l’une des deux tenait un verre d’alcool dans ses mains, il n’hésita pas et sauta dessus, en lui prenant le verre, afin d’en boire une gorgée. Ah ! Un peu de champagne. Ca faisait du bien. Oui, lui, il avait l’âge, légalement, alors qu’eux, à première vue, non. La jolie blonde dont il ne connaissait pas encore le prénom, à qui il avait piqué le verre, lui lança une remarque qui le fit sourire. En effet, il ne la voyait pas vraiment lui mettre la tête au carré… Mais bon, pourquoi pas, hein ?

FLYNN ▬ J’aurais bien aimé voir ça tiens ! C’est pas plutôt parce que j’ai une belle gueule, ajouta-t-il en plaisantant.

Il savait qu’il n’était pas laid à regarder, mais il ne se lançait pas non plus des fleurs ouvertement pour satisfaire son égo, non. En fait, il en plaisantait, la plupart du temps. Il voulut boire une nouvelle gorgée du verre qu’il avait en main, et le rendre à Hazel juste après, mais, malheureusement, le verre ne resta pas bien longtemps dans sa main, puisqu’une nouvelle jeune femme, jolie, elle aussi, arriva vers eux, et lui prit à son tour, le verre des mains. C’est qu’elle avait les mêmes idées que lui, et ça, ça lui plaisait bien. En la regardant faire, Flynn ne put s’empêcher de sourire. Billie. C’était son prénom. Au fond, il aimait son assurance, sa provocation. Nul doute qu’il rentrerait dans son jeu. Et puis, il avait fait la même chose en s’incrustant. La blonde se présenta en première. Hazel, c’était son prénom. Original, ouais, ça c’était sûr.

FLYNN ▬ Enchanté joli demoiselle, moi c’est Flynn, dit-il, un sourire toujours sur le visage.

Les filles ici n’étaient vraiment pas laides. Même s’il détestait être ici, dans ce camp, il devait bel et bien reconnaitre que s’il voulait rendre Jasper jalouse, il aurait de quoi faire…

Son séjour en Afrique commençait bien… Elle avait déjà brisé un objet, alors que cette soirée était organisée en l’honneur de l’ouverture du camp. Quelle bonne impression elle faisait… Et puis, elle avait renversé de la boisson sur un adolescent. Oui, vraiment, ça commençait bien. Sans compter qu’elle avait eut la vague impression de voir une silhouette qu’elle ne connaissait que trop bien, puisqu’elle était identique à la sienne, alors que ce n’était techniquement pas possible… Elle avait laissé en plan le buffet et avait cédé son tour, laissant un autre professeur, ou un habitant d’ailleurs, elle ne savait pas trop bien, s’en occuper. Nyx aurait juré avoir vue cette silhouette blonde dans la foule. Alors, elle s’était lancée à sa poursuite, passant à côté d’un groupe de jeune qui avait l’air de faire connaissance. Parmi eux, le jeune homme sur lequel elle avait renversé un peu de cockatil non-alcoolisé, ainsi que sa fille adoptive, Billie, deux autres jeunes filles, et un garçon plus âgé à première vue. Bien sûr, elle ne remarqua pas qu’en ce moment, sa fille tenait une coupe de champagne. Vide, certes, mais tout de même… Elle ne tarda pas trop à leur côté, trop concentrée sur sa recherche de la tignasse blonde qu’elle avait crut apercevoir. Peut-être rêvait-elle, au fond, c’était possible… Voire probable lorsqu’on y réfléchissait bien… Malgré tout, elle continuait à braver la foule.

Et c’est là qu’elle revit une tête blonde. Elle la suivit du regard, tout en continuant à marcher, et percuta de plein fouet quelqu’un. Elle s’arrêta brusquement et releva la tête. Elle l’avait perdue, à nouveau… Non, vraiment, elle avait du rêver, Athéna était morte… Elle bougea la tête de gauche à droite, et porta finalement son regard sur l’homme qu’elle avait bousculé. Nyx réalisa alors qu’en bousculant le jeune homme, celui-ci avait renversé son verre sur sa chemise. Oh non ! Pas encore… Et bien si… Comme quoi, le séjour commençait vraiment bien… Confuse, elle s’excusa rapidement.

NYX ▬ Oh ! Je suis tellement désolée… Je.. Je ne regardais pas où j’allais.

Elle attrapa une serviette, qu’elle prit à son voisin, sans lui laisser le choix, et commença à tamponner la chemise du jeune homme avec, tout en continuant à s’excuser, une bonne dizaine de fois, au moins. Elle releva la tête vers lui et lui sourit d’un air désolé.

NYX ▬ Nephtys-Oxanna Kostas, ou la maladroite de la soirée apparemment, dit-elle en élargissant son sourire et en lui tendant la main.

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Je regardais Flynn d'un aire bizarre il venait de m'appeler Raphaël, je pensais à moi-même qu'il est vrai qu'il n'est pas français et mon nom n'est pas vraiment courant mais bon je détestais quand on déformais mon prénom ou bien qu'on m'appelait par un autre, ce n'était n'était rien de grave mais je suis comme je suis et ne supportais pas ça mais bon on commençais à penne à se connaitre et c'était mon colocataire de chambre donc je n'allais pas répondre méchamment.

- SAMAËL : « Non, c'est Samaël. » Puis je jetais un regard sur Hazel puis Spencer et rajouta avec un sourire : « Oui, je suis bien entouré. »

Puis une autre fille arriva, cette fois-ci c'était une jolie rousse et elle se présenta en disant qu'elle s'appelait Billie, j'aimais bien ce prénom, je trouvais qu'il avait une bonne consonance, puis elle ajouta un sourire comme de la provocation et je sentais que j'allais bien m'entendre avec elle.
Hazel avait ignoré ma remarque donc j’acquiesçais juste quand elle prit la parole pour dire que j'approuvais ce qu'elle avais fais mais répondit aussi par une courte phrase.

- SAMAËL : « Et tu me remmènera avec toi. » Ajoutais-je avec un sourire.

Hazel se présenta à la nouvelle venue puis Flynn fis de même et sonc à mon tour je pris la parole pour me présenter.

- SAMAËL : « Et moi Samaël. » Lui souriais-je

Entre temps il y avait eu un échange entre ma meilleure amie et mon collocataure de chambre au début je n'eus pas vraiment le sourire il avait dit que Hazel lui pardonnais parce qu'il avait une belle gueule et je pense qu'à la place d'une fille j'aurais était d'accord et c'est pour cela que j'eus peur que la belle blonde lui réponde que oui et j'éprouvais de la jalousie mais à la place elle répondit par une phrase en disant qu'il était moche en gros et j'eus le sourire. Puis elle rajouta qu'il pouvait aller chercher un autre verre de champagne mais en ajoutant un pique.

- SAMAËL : « Du calme, soit gentille un peu. »

Je lui lançais un sourire et lui pris la main comme pour la forcer à venir s'assoir sur mes genoux, même si aux yeux de tout le monde nous n'étions que meilleurs amis je voulais montrer que je ne voulais pas qu'on la touche et préférais la garder près de moi, je sais c'est très égoïste mais le lendemain il se pourrait que je me comporte différemment avec elle.